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#ShineALight

Les questions qui comptent pour les joueurs

La Coupe du monde de la FIFA 2022 devrait être suivie par des milliards de téléspectateurs. Avec une plateforme aussi importante, les joueurs ont la possibilité de s'exprimer sur une variété de questions qui ont un impact sur leur espace de travail et au-delà. #ShineALight permet aux joueurs de soulever des questions et des sujets qui leur tiennent à cœur, à partir de Qatar 2022 et jusqu'en 2023 et au-delà.

Joueurs utilisant leur plateforme

Jackson Irvine : Droits des personnes LGBTQIA+

L'Australien Jackson Irvine a de la famille et des amis qui font partie de la communauté LGBTQIA+. Le milieu de terrain des Socceroos parle avec conviction de la promotion des droits LGBTQIA+ dans le football et demande que des messages clairs sur l'inclusivité ressortent de la Coupe du monde Qatar 2022.

Sebastian Coates : Santé mentale

Le défenseur uruguayen Sebastian Coates parle avec émotion des pressions du football de haut niveau, du suicide d'un coéquipier l'année dernière et de l'importance pour les joueurs – et pour tout le monde – de partager leurs sentiments.

Mark-Anthony Kaye : Abus sur les réseaux sociaux

Après avoir été expulsé lors d'un match de qualification pour la Coupe du monde à fort enjeu, Mark-Anthony Kaye a fait l'objet d'horribles injures sur les réseaux sociaux. Le milieu de terrain canadien décrit son expérience de la haine en ligne et explique ce qu'il faut faire pour lutter contre ce problème.

#ShineALight : Les questions qui comptent pour les joueurs

L'histoire du joueur

Saki Kumagai : « Il n’y a plus de retour en arrière possible » 

La défenseuse japonaise Saki Kumagai, qui a participé à quatre Coupes du monde féminines et a été championne du monde en 2011, parle de l'évolution de l'amélioration des conditions pour les internationales féminines lors des compétitions mondiales et de l'importance de la voix des joueuses.

Saki Shinealight 1

“Les joueurs ne parlent pas beaucoup de la façon dont les abus en ligne nous affectent. Il y a une stigmatisation. En tant qu'athlètes professionnels, nous ne voulons pas admettre que cela peut nous faire mal ou que nous le remarquons. Mais nous sommes tous humains. Ce n'est pas aussi simple que de "s'éteindre". Ça fait mal. Cela fait du mal à nos familles.”

— de Mark-Anthony Kaye

“Il y a un manque de clarté et un sentiment que la communauté LGTBIQ+ ne sera pas la bienvenue dans un tournoi mondial. Ce n'est pas une question de politique ou de religion : c'est une question de droits de l'homme.”

— de Jackson Irvine